Derrière le voile de l’éclipse
À l’aube de l’éclipse solaire, la ville de Mortemelle s’éveille sous un ciel teinté de nuances dorées et grises. Les ombres s’allongent alors qu’une silhouette énigmatique se dresse près de la rive, une femme dont la présence semble défier le temps. Drapée dans une riche cape aux textures mystérieuses, elle porte un chapeau orné de plumes flamboyantes qui brillent à la lumière croissante.
Les habitants murmurent des histoires à son sujet : elle est surnommée « La Veilleuse », un titre empreint d’émerveillement et de méfiance. Fille d’un ancien noble, son allure aristocratique contraste élégamment avec l’ordinaire des citoyens. Toutefois, son cœur est à jamais lié à la légende, racontant comment elle a invoqué la magie des cieux pour sauver la ville d’un mal ancien.
Alors que l’éclipse commence à se produire, une énergie palpable traverse l’air. Les jours sombres nividule vite après une promesse d’amande hivernale, enveniment les esprits. La Physionomiste, figure surgissant des hauteurs de la mythologie locale, fait figure de lien maternel avec des forces célestes impétueuses. Au fur et à mesure que la lumière décroît, les souvenirs cachés de la femme et la disgrâce de Mortemelle se révèlent avec des promesses de renouveau.
Mais que cache vraiment « La Veilleuse » ? Des secrets, une ancienne malédiction ou simplement le rêve d’un avenir radieux ? La réponse s’éclaircira lorsque le ciel sera totalement caché par l’ombre de la lune, dévoilant la puissance elle-même du destin de Mortemelle.
Laisser un commentaire